Asso' des petits écoliers:

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Ma philosophie

Je commence cet article par "fais ce qu'il te chante...et paies-en les conséquences!" (vous allez comprendre, par la suite, enfin j'espère!). Je tiens à écrire sur un sujet particulier pour moi.
Je vais commencer par la fin pour mieux comprendre l'importance du "début" et surtout du "milieu". Tous les adultes le savent, un jour ou l'autre, on finit tous par mourir, on naît pour ça... Mais entre la naissance (=le "début") et la mort (la "fin"), il y a ce que l'on veut bien en faire(= le "milieu"). Certains préfèrent en profiter "un max", d'autres "pas du tout" (ou si, juste un petit peu).
Tout d'abord, les "pas du tout": sachez que la vie vaut d'être vécue à sa juste valeurs si vous n'êtes pas du même avis, il aurait mieux valu cédez votre place aux autres spermatozoïdes qui vous envie à l'heure actuelle (lol)! Ce n'est simple pour personne, bien sûr, il y a toujours mieux, et pire que soi! Le principal est de se rendre compte de la chance que l'on a...On peut profiter des rayons du soleil, des batailles de boules de neige, admirer un paysage, profiter des retrouvailles familiale et/ou amicale...Je voulais juste envoyer un petit message positif (et non prêcher la bonne parole !) à tous les négatifs, pessimistes, plaintifs... Je ne juge personne, moi aussi, j'ai des jours où j'aurais préféré rester couchée !Moi aussi, il m'arrive d'être en colère, je ne comprends pas toujours pourquoi la vie est parfois injuste! Sincèrement, "réveillez-vous". N'attendez pas d'être malade, de perdre un proche ou autres, pour réagir. On ne sait pas quand, où et comment, notre chance d'être en vie nous sera retiré. Personnellement, je me suis promis de faire de mon mieux pour profiter de ma vie, pour tous ceux qui auraient voulu profiter de la leur et qui ne l'on pas pu...
Et pour tous ceux qui veulent en profiter "un max", CONTINUEZ! Et ne jamais oublier que les meilleurs moments sont ceux qui sont partagé.

Réflexion africaine

Un texte que j'ai découvert lors de ma fameuse période d'adolescente ...

Lorsque je nais, je suis noir.
Lorsque je grandis, je suis noir.
Lorsque je suis malade, je suis noir.
Lorsque j'ai froid, je suis noir.
Je vais au soleil, je suis noir.
Et lorsque je meurs, je suis et je reste noir.

Toi, homme blanc, tu nais, tu es rose.
Tu grandis, tu es pêche.
Tu es malade, tu es vert.
Tu as froid, tu es bleu.
Tu as peur, tu es blanc.
Tu vas au soleil, tu es rouge.
Et quand tu meurs, tu es mauve.

...

Et tu oses me traiter d'homme de couleur.